Les trois surprises de la campagne
La percée de
Le candidat centriste ne récoltait que 6 à 7 % des intentions de vote au dernier trimestre
L'OPA de Ségolène Royal sur le parti socialiste
Contrairement à ce q'imaginaient la plupart des observateurs, Ségolène Royal est parvenue, au nez et à la barbe des éléphants, à convaincre les militants socialistes de la désigner pour mener la course présidentielle au motif que les sondages la donnaient capable de battre Nicolas Sarkozy.
L'échappée de
Le candidat de l'UMP a réussi, au grand étonnement de tous, à incarner la « rupture » bien qu?il ait été associé de manière tout à fait éminente aux différents gouvernements du quinquennat. Il est également parvenu à neutraliser plus vite qu'on ne l'imaginait initialement tous ceux qui pensaient pouvoir le concurrencer dans sa propre famille au point d'obtenir un sacre triomphale le 14 janvier et de mener depuis la course en tête.